« La vie n'est pas seulement une balançoire ; c'est une balançoire qui va de travers. » w/Malvin

Le grincement des chaines rouillés des balançoires était un bruit que j'aimais bien. C'était bizarre mais se lieux délabré me plaisais étrangement, je m'y sentais comme en sécurité, comme dans un élément nouveau. J'aimais venir ici seule, m'assoir sur l'unique balançoire qui tenais encore sur ses deux chaines, me balancés essayant d'atteindre le ciel comme une enfant qui rêve de liberté. C'était bien le seul endroit ou je ne voulais pas foutre ma vie en l'air en m'éclatant, c'était le seul endroit ou je n'aveuglais pas ma vie de fumer toxique ou de liquide, c'était mon jardin secret; Je me rappelais de nos après midi dans se parc lorsqu'on y allais avec Kelsey et Alexis. Nos longs après midi a faire de la balançoires ou a jouer a la poupée dans le bac a sable. Comme ont étaient heureuses et libre a cette âge. La maternelle me manquer, vous savez faire la sieste, du coloriage, manger des bons cookies au goûter et s'inquiéter de rien le pied non ? Mais j'aimais ma vie a présent, des fêtes, des fêtes, et encore des fêtes. J'aimais ma vie, je ne la troquerais contre rien, je suis aussi heureuse et libre que lorsque j'étais une gamine qui pensais a son prince charmant, a être la plus belle des princesses. Je suis une grande enfant qui ne croit plus en ses rêves et qui vie ça réalité.

Je me balancé si haut que mon maigre poids n'était pas assez lourd pour retomber avec douceur alors mes fesses décollait du siège, je balance ma tête en arrière, mes longs cheveux d'ébènes volais a tout sens, trainais a mène le sol. Je souriais dans le vide, mais je souriais.. Je me balançais encore et toujours très haut jusqu'à que je m'élance dans le vide mon corps m'importa jusqu'à dans le bac a sable beaucoup plus ampli de sable mais plus de feuille et je me mise a rire comme une enfant qui venais de faire une bêtise. Je me mise debout et sortant du bac je retournais ou j'avais poser mes affaires pour prendre mon étuis de guitare; qui était d'ailleurs mon excuse pour venir ici sans que mes deux sœurs ne me posent des questions du genre « tu va ou ? On va bientôt manger bla bla bla » Alors j'avais dis que je sortais simplement pour aller m'acheter un lot de corde pour ma devine -surnom de sa guitare sèche.- Je retournais sur ma balançoire et je commençais a joué quelque accord en me balançant doucement.

Jolie mélodie !

J'avais clos mes yeux pour m'imprégner un peu plus de ma musique. Mes mains étaient les seules maitres de mon être et se guidait sur les cordes d'acier avec douceurs telle une danseuse du lac des signes. Je continuais de me balancer doucement suivant le rythme de ma mélodie, un léger vent caressais ma peau, mes cheveux, c'était une agréable sensation, sa me donnais envie de partir sur le chemin de l'aventure, de toute quitter, marché pieds nus dans le sable et voguais de pays en pays sur mon skate et ma guitare sur le dos. La liberté il n'y à que sa de vrais, il n'y a que sa..
Un voix me parvins aux oreilles, une me voix qui me fessais perde les pédales, la preuve mes cordes venais de grincé dans un bruit affreux. Cette voix qui appartenais à Malvin, mon corps se rédie et je fus parcourut de frisson de la tête au pieds... Depuis cette soirée là, ou plutôt cette nuit la j'essayais de l'éviter.. Le lycée était un bon terrain de jeu pour moi mais dans Bristol ce ne l'était plus.. J'avais perdus.. Je finissais ma composition, sentent son regard sur moi je n'étais plus bonne a rien, j'étais déstabilisé par sa présence et les sensations de cette nuit là se bousculais en moi jusqu'à me faire rougir sans grande raison..

MALVIN ;;

Je continuais de ma balancer, mon morceaux était finis maintenant. Je ne savais pas quoi faire, lui répondre et faire comme ci rien ne s'était passé ? Ou alors lui répondre et ne pas revenir sur le sujet ? Je ne savais pas, je n'étais pas la même quand j'étais devant lui, j'étais différente c'était pas ma faute il me rendait complètement folle, complètement folle de lui. Je ne pensais qu'à lui, je ne ressentais que le besoin de le voir, mais est-ce de la maladie ? Oui, celle de l'amour mais je me refusais de l'avouer.. C'était ainsi.

« .. Merci »

« C'est.. drôle de te voir ici... Je pensais être la seule a fréquenter encore cette endroit.. »

Je cherchais comme a fuir la réalités, c'était idiot.

J’aimais cette endroit, c’était un endroit ou l’on pouvait être au calme. J’y venais souvent depuis bien des années et c’était la première fois que j’y voyais quelqu’un. Remarquez la personne qui se tenait la, j’étais bien content de la voir. Malèna et moi on se connaissaient, pas beaucoup mais suffisamment pour que tombe amoureux d’elle. J’avais d’ailleurs passé une nuit avec elle, pas qu’a dormir a vrai dire mais bon.
Je me laissais tomber a coté d’elle par terre, la regardant. Je ne savais rien, de ce qu’elle pensait de moi et de ce qui c’était passé entre nous. A vrai dire je n’étais même pas sur qu’elle se souvienne de cette nuit la, mais mieux vaux ne pas aborder le sujet enfin du moins pas tout de suite.

MALENA ;;

Tout comme moi je le croyais aussi, mais comme ca à partir de maintenant je savais ou l’a trouver. Plantant mon regard dans le bac a sable je souris puis pris la parole.

Non ca fait des années que j’y viens. Mais à croire que t’étais pas la seule à croire que personne venait ici.

Je me perdais un instant dans mes pensées mais revint à la réalité, tournant la tête vers Maléna. Elle était toujours aussi belle avec ses cheveux noir lui tombant sur les épaules. Okay. Là, ressaisit toi mon grand !

Sinon comment tu vas ? Ca fait longtemps.

Je n’ai aucune idée de pourquoi mais depuis cette fameuse nuit elle me fuyais, ou tout du moins elle m’évitait comme la peste. Le lycée était assez grand et elle en profitais pour pas se retrouver en face de moi.

Il se laissa tomber assis a côtés de moi; qui continuais de me balancer doucement en fixant la caisse de ma divine. J'y voyais mon reflet, un reflet qui ne me plaisais pas vraiment. Je n'avais pas de sourire, j'avais une expression totalement morte sur le visage, je clos quelque seconde mes paupières. Y faillais que je ne reprenne, je ne pouvais pas toujours me cachés, c'était arrivé c'est que sa devait arrivé non ? Mais j'avais peur.. Peur des sentiments que j'avais au plus profond de mon êtres.
J'ouvris de nouveau mes yeux, souriant en pensant a la plus débile des blagues que j'avais pus entendre dans ma vie, je jetais un regard en coin vers lui, il souriait en regardant en direction du bac à sable; celui dans lequel j'avais sauter il y a quelque minutes plus tôt.

MALVIN ;;

« Je viens bien souvent ici, quand j'ai besoin d'être seule. Quand mes pensées font la confusion de mon êtres, ou simplement quand j'ai une envie de retomber en enfance. »

Bon maintenant que je savais que je n'étais pus la seule a venir ici, je pense que j'allais abandonné cet endroit comme il avait abandonné mon enfance.. Surtout que j'allais éviter ce lieux comme j'évitais c'est dernier temps Malvin. Le lycée était grand donc pour moi c'était facile de savoir comment l'éviter. Les toilettes des filles durant les longues pause ou sinon en rasant les murs est le tours était joué.
Lorsqu'il tourna la tête vers moi je détourna la mienne aussi vite en fixant un arbuste devant moi -d'ailleurs il était un peu moche m'enfin- j'eus du mal a déglutir en sentant son regard sur moi, c'était plus fort que moi je repensais a la soirée..

MALVIN ;;

« ça va doucement et toi ? Comment tu vas ? .. Ouais tu sais les cours sa prend pas mal de temps en se moment.. »

Dans la famille mauvais menteur je demande Maléna Eileen Gordon. Tout le monde savait bien que je ne mentais comme une arracheuse de dent. Et puis moi travailler pendant les cours ? C'est un doute je me contente du stricts minimum, je suis plus une adepte du viré ou de la colle en pleine heures de cours parce que j'embête trop mon monde, soit parce que je suis pas dans des états pour travailler, soit parce que je suis tellement en états que je suis trop chiante.

A vrai dire il n’y avait pas que l’esprit de Malèna qui semblait embrouillé. Le mienne ne savais pas quoi penser de tout ce qui se passait avec elle. Situation compliqué et délicate. Comme on dit la vie n’est pas un long fleuve tranquille et plus on grandit plus elle devient compliqué. Quand tu es un enfant tout est simple, beau. Tu joue sans te poser de question, tu parle au premier venu comme tu le ferait à avec un bon ami. Mais surtout, dans l’amour tout est beaucoup plus simple. Tu n’as peur de te faire jeter par l’autre. Regardez comme c’est difficile a 18 ans.
Les sentiments que je ressentez pour Malèna, j’étais incapable de savoir comment lui avouer. J’aurais aimé pouvoir le fait simplement mais la peur de me faire jeter et de perdre son amitié m’en empêcher.

MALENA ;;

Ouais c’est plutôt agréable comme endroit quand on veux être seul ... Bien que ta présence m’aille très bien.

Je lui lançais un petit sourire en coin, la regardant sa balancer doucement, sur la seule et unique balançoire qui tenait encore debout. Elle détourna la tête des le moment ou je posais mon regard sur elle. Depuis cette soirée beaucoup de choses avaient changés. Avant on passait du temps ensemble à rire et faire des conneries mais depuis plus rien et j’avoue que ce me manque beaucoup.

MALENA ;;

Ca va. Depuis quand tu suis en cours toi ?

Je laissais échapper un petit rire. Je savais que Malèna n’était pas une grande fan des cours et qu’elle ne bossait pas en dehors mais si elle voulait me mentir sur sa c’était son choix. Je ramené mes genoux contre mon torse, les entouré de mes bras et posait ma téte dessus plongée dans mes pensées.

MALVIN ;;

« On est sur de ne pas êtres déranger part des enfants. Peut être des sans abris de temps a autres, mais on leurs files une cigarette et y sont heureux.. Donc y partent.. »

Je regardais autour de moi, tout ses vieux jeux avec qui j'avais passé de bonne après midi, tout ses jeux qui maintenant ne ressemblais qu'à des amas de vieux bouts de ferraille rouiller, mais pourtant je venais encore ici me perde dans le flux de ma vie.
Je tournais doucement ma tête vers lui, déposant mon front sur la chaine rouillé en le regardant, je mimais un sourire, baissant les yeux vers le sol je me balançais de côtés.

MALVIN ;;

« Depuis qu'ils ont décidés de plus m'exclure de cours, depuis que j'ai plus de voisins avec qui parlé, depuis que je finis mes cours bien souvent au fond toute seule comme une pèlerine, ou alors depuis que je ne fais que penser.. Du coup je reste calme, sa fais du bien parait-il, faut que je trouve un remède à sa.. Je deviens bien trop calme.. »

Je le regardais rire, il avait raison de rire se n'était pas vrais. En cours je n'écoutais pas c'était plus fort que moi, mais je ne savais que faire d'autres que de lui mentir. Vous me voyez lui dire que je suis éperdument amoureuse de lui ? Que je ne pense cas lui ? Alors que j'avais peur des sentiments que j'éprouvais a son égard ? Non mais faut pas rêvé..

« Malvin? .. Tu veux bien faire de la balançoire avec moi ? .. s'il te plait .. »

MALENA ;;

T’es sur que c’est pas plutôt parce que t’as tête leur fait peur ?

Ce parc c’était toute mon enfance et y venir me faisait du bien. J’aimais cette endroit parce qu’il me rappelais de bons souvenirs. Ma rencontre avec Aaron mon meilleur ami par exemple. Quand j’étais ici tout me paraissait simple, enfin sauf aujourd’hui apparemment. Mais depuis quelques années le parc avaient été fermé et les jeux c’étaient tous délabrés les uns après les autres.

MALENA ;;

Je trouve que le calme te réussit plutôt bien, même si tes moment de folies sont bien aussi.

Avouer ses sentiments n’était jamais chose facile et même moi, qui pourtant était loin d’être timide, je n’arrivais pas a trouver la manière dont je pourrais le faire. Ces questions tournés dans ma tête au moment ou Malèna me parla.

MALENA ;;

Un sourire sincère et heureux apparu sur mes lèvres. Je relevais la tête pour la regarder, puis inspectant la balançoire je grimaçais. Elle avait déjà de la chance qu’elle tienne encore, alors avec deux personnes, elle ne tiendrai sûrement pas. Bien sur L’envie était de très loin tentante. Rien que le fait de savoir que je me trouverais plus proche de Malèna me plaisait, mais ce n’était en aucun cas pervers.

D’accord mais si elle craque c’est ta faute

Je me levais et m’asseyait doucement sur la place que m’avait laissait Malèna. Mon bras effleura le sien et mon cœur s’emballa. Inutile de dire pourquoi. Je la regardais et lui sourit légèrement m’installant à coté d’elle, craignant que la balançoire ne craque, ce qui n’allait sûrement pas tarder.

MALVIN ;;

« J'en prend le risque.. J'ai envie de faire de la balançoire.. avec toi »

Avouais-je doucement, j'avais envie d'être proche de lui, de sentir le contacte de son corps près de moi -rien de pervers- j'avais simplement envie de partager un moment de balançoire avec lui. Mon cœur se serra lorsqu'il se leva du sol pour me rejoindre, je le regardais prendre place a mes côtés. Tenant fermement la chaînes dans ma main en le regardant s'assoir doucement, un poids de plus et la balançoire émit un grincement, on aurait dit qu'elle pleurait, qu'elle voulait qu'on abrège ses souffrance -enfin sa n'allais pas tardé- Je portais ma main a ma bouche en me mettant a rire bien que ce n'était pas si hilare que ça mais c'était drôle.. Du moins je trouvais cela drôle.
Je souris à Malvin, mon cœur se mis à battre rapidement lorsque sont bras effleura le mien, mes joues commencèrent a rougir, je baisse la tête doucement en la posant contre l'épaule de Malvin.

« Je peut ? »

Je le regardais du coin de son épaule avec un petit sourire

MALENA ;;

Dans ces cas la je ne pouvais pas refuser. Etre prêt d’elle, sentir sa peau effleurer la mienne -dans aucun sens pervers- était une chose dont j’avais envie depuis bien longtemps. Depuis notre soirée ensemble en fait. Ce contact me manquais, en fait elle me manquais tout simplement. Je m’asseyant doucement a ses cotés, bien que la balançoire émis un cris strident. Elle n’allait sûrement pas tenir très longtemps. Malèna me lança un petit sourire auxquels je fus obligé de répondre en agrandissant le mien. Je l’a vis rougir puis baissait la tête. Je regardai le bac a sable, pensif. Quand je sentis Malèna posait sa tête sur mon épaule.

MALENA ;;

Bien sur.

Je pouvais dire que cette … complicité ou proximité était loin d’être désagréable. C’était même plutôt très agréable. Mon cœur cogné tellement fort contre mon torse que je crois bien que Malèna aurait été capable de l’entendre. Soudain un autre crissement, venant de la balançoire, me fis sortir de mes pensées. J’eus a peine le temps de réaliser que les chaînes de la balançoire lâché et que je me retrouve étalé par terre, Malèna sur moi. Je dois dire que ca non plus n’était pas désagréable. J’éclatais de rire.

Ca va je suis confortable ?

Ma tête doucement posé sur l'épaule de Malvin, je me sentais si bien contre lui, bercé par son odeur qui hantait mes nuits depuis cette nuit là. Je souriais certainement bêtement, mais je n'en avais rien a faire, je voulus passé mes bras autours du sien mais la balançoire émit a nouveau un cris strident et je sentis les dents des chaines lâchés une a une jusqu'à que nous tombions sur le sol. J'avais fermé les yeux, bien que la chute ne fut pas bien haut j'avais été surprise et quand j'ouvris les yeux je vis Malvin, sous moi qui se mis a éclaté de rire et j'en fis de même. La balançoire comme prévus elle avait lâché, voilà que j'avais perdus le siège de mon havre de paix mais c'était marrant, surtout c'était marrant d'être dans une position tel; allongé sur Malvin.

MALVIN ;;

« Tu es a souhait. Même mon matelas n'est pas si confortable »

Lui dis-je en posant ma tête sur son torse, j'avais l'impression que mon corps épousais complètement le sien, j'étais si bien.. J'aurais voulus rester comme ça toute la nuit et bien plus encore. J'aurais voulus que l'instant se fige comme une photographie ou une peinture, j'avais envie de beaucoup de chose, mais j'en avais peur, j'avais peur tout ça, j'avais peur des changement, c'est vrais je l'avoue, j'avais peur de l'amour.

« Je suis pas trop lourde hein ? »

Je relevais doucement la tête, pour voir la sienne. Je souriais légèrement en le regardant, remarquant qu'il avait une feuille d'arbre dans les cheveux, c'était mignon. Je ne pus m'empêcher de rire, pourtant ma main dans ses cheveux je pris la feuille entre mes doigts et la porta devant ses yeux en l'agitant et puis en lui caressant le nez avec en souriant.

« T'avais une squatteuse »

MALENA ;;

Quel compliment !

Je laissais échappé un petit rire,, Malèna posant sa tête sur mon torse. C’était un moment merveilleux, unique et je n’aurais échangé ma place pour rien au monde. Je me sentais bien, même plus que bien. J’aurais voulu, en ce moment même, que plus rien n’existe à part elle et moi. J’aurais voulu que le temps s’arrête, juste pour nous deux. Alors qu’elle avait la tête posait contre mon torse, je passais mes mains dans le bas de son dos et fermés quelques minutes les yeux, savourant ce moment, seul avec la fille que j’aimais.

MALENA ;;

Non, une vrai plume.

J’ouvrais les yeux, au moment même ou elle releva la tête vers moi. Elle abordais encore ce sourire si craquant au quel je ne pu que répondre. Elle laissa échappé un petit rire, mais ne compris pourquoi qu’au moment ou elle retira une feuille de mes cheveux. Je ris légèrement a mon tour.

MALENA ;;

A vrai dire j’en ai deux. Mais la deuxième est loin d’être désagréable…

J’esquissais un nouveau sourire au moment ou mon regard rencontra le sien. A ce moment la plus rien n’existait autour. Il aurait pu se déclencher une guerre, je ne l’aurais même pas remarqué. Je me noyais dans ce regard chocolat, qui me faisait fondre. Sans m’en rendre vraiment compte, une de mes mains replaça une de se mèches derrière son oreille et se posa délicatement sur sa joue. Mon visage s’approcha du sien et son souffle se fis sentir sur ma peau. Elle était légèrement parfumé. J’approchais encore mes lèvres des siennes, mon cœur battant la chamade et le souffle court. C’est enfin que mes lèvres rencontrèrent les siennes. J’y déposé un baise avant de reculer mon visage, me rendant compte de ce que je venais de faire. Je me mordis la lèvre, ses lèvres sucrés manquant déjà aux miennes. Son parfum m’enivrait totalement et son regard m’hypnotiser…

MALVIN ;;

« Merci du compliment »

Un grand sourire venait de naître sur mes lèvres lorsque son regard bleuté rencontra le mien. Ses yeux, ses yeux était se qui m'attirais comme un aimant a lui, ses yeux brillant, son regard doux et délicat lui donnais le visage d'un ange..
J'avais l'impression que le monde autour de nous n'exister plus, quand lorsque j'étais dans ses bras. Et pourtant j'avais l'impression que je jouais a un jeu interdis; avec mon cœur.
Il replaçant de mes mèche derrière mon oreille et posant délicatement sa main sur ma joue, qui devienne lentement rouge et chaude, je pose doucement ma main sur la sienne et du bout de mes doigts je glissais sur sa main douce.. Son visage se rapprocha doucement du mien, je sentis mon cœur s'emballer dans ma poitrine, une douleur au ventre comme ci des millions de papillons volait a l'intérieure de moi. Mon souffle devint court lorsque ses lèvres s'approchait encore des miennes, jusqu'à se qu'elles se cèles au miennes dans un baiser, lorsqu'il recula sont visage du mien j'avais l'impression que mon esprit était vide, ne m'appartenant plus.. Se que je voulais c'était retrouvé ses lèvres, mais mon cœur était en conflit.. Encore cette peur qui m'enivrais, et ses questions qui tournais en moi..

« J'en peu plus.. je suis pas assez forte pour résisté.. Promet moi que tu le fais pas pour t'amuser ? Que tu ne joue pas avec mon cœur.. je t'en supplie.. »

Ce devait bien être la première foi que je me mise a pleuré devant quelqu'un. Mes sentiments était si fort, si chambouler que je ne savais plus quoi faire, si je devais l'embrassai, le giflé ou je ne sais pas, j'étais en pleine confusion.
Je passe mes mains sous sa nuque et j'approchais mon visage du sien, doucement mes lèvres rencontrèrent les siennes..

Depuis le temps que j’en avais envie, je l’avais enfin fait. J’avais embrassé. J’avais laissé mon Coeur prendre le dessus et j’avais eu raison. Même si j’avais peur qu’elle ne réagisse mal. Je restais mon regard dans le sien, me mordant légèrement la lèvre inférieur, le goût de ses lèvres me manquais déjà, sa peau contre celle de ma main me manquait déjà. Son regard semblait confus, je voyais qu’elle ne savait plus quoi pensait. Au plus profond de moi, je priais pour qu’elle ressente ce que je ressentais pour elle. Puis elle pris la parole.

MALENA ;;

J’allais répondre mais n’eus pas le temps parce que je fus troublé par les larmes qui c’étaient mise à couler le long de ses joues. Je les essuyait délicatement de mes pouces, posant mes mains sur ses joues. Plongeant mon regard une nouvelle fois dans le sien j’allais répondre, mais ce fut ses lèvres qui vinrent chercher les miennes. Je prolongea ce baiser, fermant les yeux. Mon cœur cogner comme il n’avait jamais cogner contre mes cotes. Je rompis ce baiser et un sourire apparu sur mon visage.

Jamais je jouerais avec toi Malèna, tu compte bien trop pour moi.

C’était totalement vrai. J’avais peut être eu nombreuse petites mais, mais aucune n’avais jamais compté autant que Malèna compté pour moi. Je l’aimais tout simplement. Toujours allongé sur moi, elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas non plus.

Je t’aime

Mes lèvres avaient emprisonner les siennes dans un doux baiser; un baiser sincère, un baiser voulut, et que je ne regretterais pas, même si Malvin ne ressentais peut-être pas les mêmes sentiments que moi, j'étais heureuse d'avoir soulager mon cœur, d'avoir écouter l'amour qui bat en moi.
Le contacte de ses lèvres sur les miennes soulagés tout les maux, le monde me parut beaucoup plus beau, beaucoup plus vrais, beaucoup plus.. c'était devenus un tout et non pas un rien. Il rompis le baiser, je n'osais pas le regardais, de peur de lire se que je ne voulais pas savoir dans ses yeux mais en voyant un sourire naitre et grandir sur ses lèvres délicate, je pris mon courage et je plongeais mon regard dans le sien avec volupté.

MALVIN ;;

« je.. »

Mon cœur se serra dans ma poitrine, deux mots, simplement deux mots que je ne savais pas dire. Deux mots qui me fessais peur, simplement deux mots. J'avais eu de nombreux petits amis et petites amies, certains d'un soir, d'autre de semaine, même d'heures, mais je n'avais jamais dis que je les aimaient, simplement parce que je ne ressentais rien pour eux, du moins rien de comparable a se que je ressentais pour Malvin. Quand je le croise dans un couloir, mon cœur s'emballe, si fort que j'avais l'impression qu'il allait se décrocher de mon être pour se mettre a ses pieds. Dans il était près de moi, j'étais incapable de me comporté correctement.. et depuis la soirée, je revivais tout les flashs de cette nuit la..

MALVIN ;;

« je.. »

Déposant ma tête contre sont torse, j'étais toujours incapable de lui avouer mes sentiments.. Mes larmes coulaient toujours sur mon visage, je glissais ma main de sa nuque jusqu'à son torse puis jusqu'à sa main ou je mêlé mais doigts au sien. Je ferme les yeux puis les ré-ouvrants doucement je rapprochais nos mains liés vers mon visage, disant doucement mais assez fort pour qu'il l'entende;

« je t'aime »

Je me relève doucement, me mettant assise délicatement sur son torse -les jambes de chaque côtés- j'attrapais sa seconde main pour mêlé ses doigts encore au miens. Je lui fis un mince sourire, et plongeant mon regard dans le sien

« je suis amoureuse de toi, Oh oui je t'aime Malvin Alexzander Sheppard. Je t'aime, je t'aime, je t'aime et je t'aiiiiiime »

MALENA ;;

Je ne voulais pas forcer Malèna à me le dire. Le fait qu’elle m’ai rendu mon baiser, me soulagé déjà énormément. Je n’avais jamais ressentit ce que je ressentais pour Malèna pour quelqu’un d’autre. J’aurais pu la regarder des heures, resté avec elle des années, je l’aimais plus que tout. Je n’aurais jamais cru que je ressentirais quelque chose d’aussi fort pour quelqu’un un jour. Mais mon cœur ne battait que pour elle. Elle était ma raison de sourire, de rire, de vivre, de me sentir heureuse. Elle prit ma main dans la sienne et entremêla ses doigts aux miens. Je le resserrais doucement, un sourire aux lèvres.

MALENA ;;

Mon sourire ne fut qu’agrandit quand elle prononça ces deux mots. Elle se redressa, se mettant à califourchon sur moi, et prit ma deuxième main dans la sienne, elle était belle, magnifique même je dirais. Je ne pouvais, et ne voulais, plus défaire mon regard du sien. Je me redressais légèrement, déposais un baiser sur ses lèvres et reposais ma tête dans l’herbe, sans lâchait son regard.

MALENA ;;

T’es un peu grave sur les bord toi. Tu le sais ?

Je ne pus m’empêcher de rire. Je me sentais bien avec elle, elle me rendait heureuse. Et maintenant que nous étions ensemble je pourrais la voir aussi souvent que je le voulais. Pour moi notre nuit ensemble n’avait jamais été une nuit comme ca avec n’importe quelle fille. A ce moment la le portable de Malèna vibra, ce qui me fis légèrement sursauter.

Gosh tu m’fais vibrer

Repensant à mes paroles, qui ne c’était pas du tout voulu pervers au départ, j’éclatais littéralement de rire. Quel idiot ! Classe, très classe comme remarque.

MALVIN ;;

« Malheureusement, oui je le sais. Mais y a rien pour soigné cette état là.. Tu va devoir me supporté, c'est comme ça, j'ai le cerveau d'un chewing-gum collé sous une DC shoes, s'pas cool quoi. »

Je me mise a rire, y faillais l'avouer je n'étais pas très très nette dans ma tête. Peut être trop d'alcool, ou alors la fumette qui a atteint bien trop vite mes neurones aller savoir. Tout ce qui sortais de ma bouche était bien souvent des conneries qui était bien plus grosse que moi -pas dur a battre me direz-vous-
Mais c'était moi, je suis un bout de femme complexe qui veux rester une enfant a tout les prix. Je le regardais dans les yeux ne pouvant détaché mon regard du sien, lorsque mon portable vibra se qui fit sursauter Malvin, et qui me fit rire.

MALVIN ;;

« Umm.. »

Dis-je avec le sourire au lèvres, tendis qu'il éclata de rire je délivrais une de mes mains pour regardais le message que j'avais reçu; rien de bien important, je range mon téléphone dans ma poche après alors éteint et je reprend la main de Malvin dans la mienne, et j'approchais mon visage du sien en souriant.

« Y nous dérangeras plus maintenant.. Alors comme ça je te fais vibré ? »

« J'aime énormément notre position; tu est mon prisonnier, je peu te faire tout se que j'ai envie.. »

MALENA ;;

Mais peut être que ma présence fera du bien à ton cerveau … Qui sait !

Je me mis aussi à rire. Nous faisions la paire tout les deux. Quand je m’y mettais je pouvais aussi débiter plus que conneries à la minute qu’autre chose. Je n’avais jamais été complexais et a vrai dire j’adorais déconner et surtout faire rire les autres. Des fois on pourrait me trouve lourd mais bon. J’étais aussi pervers, enfin pas vraiment mais je sortais souvent des choses qui y faisait illusion sans vraiment m’en rendre compte.
Je venais d’ailleurs de sortir un truc un peu pervers. ‘Tu m’fais vibrer’ non mais vraiment ! On se demande d’ou je sors. Heureusement que Malèna savait que j’étais comme ca.

MALENA ;;

Malèna sortit son portable, un sourire aux lèvres, alors que j’éclatais de rire. Une fois mon rire calmait et qu’elle eu rangé son portable dans sa poche, elle replongea son regard dans le mien. Son visage s’approcha du mien et c’était loin d’être déplaisant.

MALENA ;;

Tu devrais ranger ta langue, sinon j’vais te la mordre.

MALENA ;;

Moi ? Ton prisonnier ? Ca dépend, parce que tu pourrais très bien être ma prisonnière ! Enfin tout dépend de ce que tu as décidé de me faire la tout de suite…

MALVIN ;;

« Umm peut-être, mais bon je dirais plutôt que ta présence n'arrangeras rien. La preuve je suis là, avec toi et je suis toujours aussi frappadingue. Je vais aller chez les bonnes soeurs, elle me remettrons dans le droit chemin »

Celui qui me verra un jour chez les bonnes sœurs n'est pas né ! Franchement vous me voyez vous chez les curtonnes ? C'est le comble de ma personnalité. Pas d'alcool, pas de drogues, pas de sexe, limite on rigole pas, mais c'est pas une vie, pas la vie que je mène en tout cas.
Moi j'étais totalement accros a ma vie et a tout ce qui la rythmais, accros a tout mes petits train-trains a tout ses bons comme mauvais moment. J'aimais tellement ma vie que j'étais prête à en vivre jusqu'à en crever, t'en que je profite de toute.
Alors que Malvin avait sortie une phrase un tantinet pervers je m'étais mise a sourire en sortant mon portable qui avait était la raison du sursaut de Malvin, mais le message n'était pas vraiment important alors il était partie vite dans la poche et éteint.
Je repris sa main dans la mienne, et me penchant doucement vers lui je lui tire la langue et l'embrasse rapidement avant de me redresser légèrement.

MALVIN ;;

« Umm.. Tu ôserais ? »

MALVIN ;;

« Je pourrais faire t'en de chose, comme cela.. »

« ou ça »

« Peut-être un autre tas d'autre chose.. »

MALENA ;;

Toi chez les bonnes sœurs ? Je crois que ca arrivera le jour ou les poules auront des dents, ou alors quand il commencera à faire jour en pleine nuit. Je te jure que si un jour ca arrive je me transforme en curé.

C’est vrai que Malèna chez les bonnes sœurs, c’était tout bonnement … Impossible. C’était pas du tout dans sa personnalité et c’était très loin de lui ressembler. Si un jour ca arrive, je vous jure que je devient l’intello de la classe, que je bois plus, que je fume plus et que je vais plus a aucune fête. Je laissais échapper un petit rire, puis Malèna adorais la vie alors ce n’est sûrement pas elle qui s’en priverais en devenant bonne sœur.
Quand à moi, je ne tenais pas non plus à devenir curé. Non mais je vous jure elle a de ses idées des fois. J’adorais aussi ma vie.
Elle me tira la langue et bien sur, étant comme ca de nature tout les deux, on ne put s’empêcher de se taquiner. J’adorais l’embêter.

MALENA ;;

Oui j’oserais !

MALENA ;;

Elle m’embrassa et je prolongeais tendrement, fermant les yeux, profitant de ce moment. J’avais l’impression que plus rien n’existais en dehors de nous deux. Quand elle interrompu ce baiser, je ne pus empêcher un sourire de s’installer sur mes lèvres.

MALENA ;;

Elle déposa son visage dans mon cou, déposant des baisers. Mon corps fut parcourut de frissons et mon souffle devint court. Je fermais légèrement les yeux.

MALENA ;;

Elle posa mes mains sur ses hanches, et je l’a laissais faire. Elle passa ses mains sous mon tee-shirt. Le contact de ses mains sur ma peau me procura un nouveau frisson. Je la laissais faire, ne lâchant pas son regard chocolat, dans lequel je me noyais. Par réflexe mes mains passèrent sous son tee-shirt et caressèrent doucement ses hanches. Je lui souris et lui murmura quelques mots.

Je suis aussi souvent que tu veux ton prisonnier …

Mes lèvres avaient rencontrés les siennes dans un doux baiser mes yeux se fermèrent doucement, jusqu'à que je rompe le baiser pour déposé mes lèvres sur sa nuque que je dévorais de nombreux baisers, et puis je déposais ses mains doucement sur mes hanches et moi je passais mes mains sous sont t-shirt. Elles glissèrent doucement de son bassin jusqu'en haut de son torse en dessinant ses parties du bout de mes doigts, je glissais doucement à nouveau ma tête au creux de son cou, ou je déposais quelque baiser, remontant jusqu'à son oreille ou je lui susurra un « je t'aime » langoureux, désirant..

MALVIN ;;

« Umm me laisse pas trop faire.. Je suis dangereuse.. je suis étrange.. je suis Maléna.. ummm.. »

Mes mains continuais de parcourir sont torse, je me laissais doucement retomber sur son torse, ma tête au creux de son cou, et une main encore sous son t-shirt alors que l'autre était partie se perde dans ses cheveux blond.

« Tu sais .. Faudra remercier quand même le parc de jeux, pis la balançoire surtout .. Sinon on serais encore au rythme ou je t'évitais .. »

MALENA ;;

T’as oublié l’essentiel … Tu es la fille dont je suis dingue …

Ses mains continué de parcourir mon torse alors que je frissonnais de plus belle. Elle vint se blottir contre mon torse, je fermais les yeux et gardais mes bras autour d’elle. Mes doigts parcouraient ses hanches. Elle passa une main dans mes cheveux, me faisant sourire.

MALENA ;;

Faudrait plutôt remercier mon courage.

C’est vrai j’avais eu le courage de me lancer en l’embrassant, risquant des tas de choses. J’aurais pu me prendre une gifle, un gros mot en pleine tête ou alors, la meilleur des solutions, un baiser. Heureusement, pour moi, Malèna avait opté pour m’embrasser ce qui était loin de me déplaire.
La regardant, je l’a tourna et me mis sur elle avec un petit sourire.

Maintenant c’est moi qui t’es faite prisonnière…

Je me baissais à mon tour pour l’embrasser amoureusement, puis déposant plein de petits baisers, je descendis jusqu'à son cou ou je l’embrassais longuement.

MALVIN ;;

« Et le mien alors ? J'ai mâcher le travail en t'invitant a faire de la balançoire avec moi, bon certes j'ai pas redus la tâche facile en t'évitant.. Je suis désolés, mais.. Tu va trouver ça idiot.. Mais j'avais peur.. Peur de mes sentiments.. »

« Pis la balançoire vraiment moi j'insiste, elle ma décoincer .. »

C'est bête, mais c'est vrais je n'aurais jamais étais capable d'embrasser Malvin si y aurait pas eu la situation de la balançoire, j'aurais eu plutôt tendance a le gifler et à partir avec mon skate chez moi, me mettre et regretter mon geste et me remettre a l'éviter.
Malvin me fis basculer sur le sol et lui au dessus de moi en souriant, m'arrachant un sourire je me plongeais dans ses yeux, me noyant jusqu'à dans mes rêves..

MALVIN ;;

« Umm.. j'aime étrangement cette situation »

Lui murmurais-je doucement a l'oreille. Il m'embrassa, répondant a son baiser je glissais mes mains sous son t-shirt je glissais mes doigts dans son dos, et lorsqu'il m'embrassa dans le cou je cambrais légèrement les épaules. Chacun de ses baisers était comme décharge électrique.. Et j'aimais ça..
Je me mordis la lèvre inférieures avant qu'elle ne vienne se perde dans sa nuque, ou je laissais la marque de mon passage.. je l'embrassais au niveau du creux de sa nuque avant de lui mordillais l'oreille.. Mes mains qui glissaient dans son dos, descendaient doucement au niveau de son bassin, puis l'un se glissa à l'intérieure de son jean.. mes doigts frôlant a travers le tissus son intimité.. je le regardais, mon visage était devenue rouge.. saoule je n'aurais pas eu grand effet mais hors là ce n'était pas le cas..

« Tu me crois si je donne comme excuse.. j'ai froid les doigts »

MALENA ;;

Ben alors on va dire merci à la balançoire … Et paix à son âme.

Mais il est vrai que la balançoire n’avait pas rendu âme et je ne me serrais pas retrouver avec Malèna sur moi, je n’aurais probablement jamais avouer tout ca à Malèna et je l’aurais encore moins embrassé. Pourtant maintenant qu’on était ensemble, tout cela me paraissait simple.
J’avais changé notre position et m’était retrouvé à mon tour sur Malèna. Le contact de son corps sur le mien était loin d’être désagréable, il était même plutôt très agréable. Mon regard dans le sien, j’étais incapable de m’empêcher une nouvelle fois d’effleurer ses lèvres des miennes.

MALENA ;;

T’en mieux parce que moi je l’adore …

Sur ces mots je déposais mes lèvres sur les siennes, fermant les yeux. Alors qu’elle prolongeait, ses mains passèrent sous mon tee-shirt, me procurant des frissons avant de les laissaient glisser dans mon dos. Je l’embrassais dans le cou, alors qu’elle cambrait légèrement les épaules.
Puis ce fut sont tour des laissait ses lèvres effleurer la peau de mon cou, laissant une marque de leur passage. Elle se mit à mordiller mon oreille ce qui laissa apparaître sur mes lèvres un léger sourire. Je sentis ses mains glissaient dans mon dos, mais l’une d’elle échappa de sa trajectoire et passa sous mon jean. Malèna caressa mon intimité a travers mon boxer, ce qui me valu un léger gémissement. Je fermais les yeux, le souffle court. Elle me faisait du bien. C’est simple caresse me faisait de l’effet, elle me faisait de l’effet.
Je passais mes mains sous son tee-shirt, le remontant, effleurant sa peau avec mes doigts. J’avais envie d’elle tout simplement. Jamais je n’en avais eu autant envie. Ses sentiments de bien m’étaient beaucoup plus fort que lorsque j’avais été bourré. Je descendis mon visage au niveau de son ventre, y déposant un long baiser. Puis mes lèvres retracèrent leur chemin vers ses lèvres, déposant des baisers jusqu’à y arriver. Je l’embrassais fougueusement.

MALVIN ;;

« C'est bon à savoir.. »

Ses lèvres ce celèrent aux miennes, fermant les yeux je passais mes mains sous son t-shirt, caressant du bout de mes doigts sont dos. Ses lèvres parcouraient ma nuque, et chacun de ses baisers me perdaient dans l'imaginaire pour me perde a mes envies, je cambrais les épaules, poussant un léger soupire de bien-être. Je me perdis a mon tour dans sa nuque, parcourant chaque passerelle de celle-ci de doux baisers jusqu'à que je ne m'arrête à en endroit, aspirant légèrement sa peaux pour y laisser ma marque, ma chasse, mon trésor, mon cœur, ma moitié, mon tout, continuant mes va-et-viens de caresse dans son dos. Je remontais mes lèvres a son oreille que je mordillais légèrement du bout de mes dents avant de laisser un mince baiser sur son lobe, mes mains glissèrent jusqu'à bas de son bassin, l'une fuie de sa trajectoire et passa dans son jean. Me mordant doucement ma lèvres j'effleurais l'intimité de Malvin a travers son boxer, l'entendant gémir mes dents pincèrent ma lèvres inférieure.
Ses mains passèrent sous mon t-shirt, remontant et effleurant ma peaux du bouts de ses doigts, je soupirais doucement, en fermant les yeux.. Lorsque ses lèvres virent se posés sur mon ventre y déposant un long baiser, je me cambrais, ses baisers me retournaient l'estomac, j'avais envie d'lui, de sentir les plies de son corps sur le mien, sa peaux sur la mienne, j'avais tout simplement envie d'lui. Ses lèvres remontant par un chemin de baiser jusqu'à mes lèvres y m'embrassas fougueusement.
Mes doigts qui continuais de parcourir sont intimité doucement, je glissais ma main entre l'élastique de son boxer sans pour autant la passé entièrement, et je caressais sa peaux au niveaux du rein. Tendis que mon autre main était passais sur son torse, a présent elle glissa au niveau de son jean ou je me mise à jouer avec le bouton de celui-ci.

» Malvin A. Sheppard
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